Les quatre « M » : les piliers de la planification du revenu de retraite
Les impôts, l’inflation, les fluctuations des marchés et les replis inopportuns peuvent ravager le pécule de vos clients. Grâce à la stratégie des quatre « M » – maximisation des flux de trésorerie, minimisation des impôts, minimisation des pertes et maintien du pouvoir d’achat –, vous pouvez bâtir un portefeuille plus résilient produisant un revenu régulier dans les marchés haussiers, comme baissiers. Examinons cette stratégie de plus près.
Maximisation des flux de trésorerie
En tablant sur les actifs productifs de revenus, les investisseurs peuvent générer des liquidités de manière fiable, ce qui évite d’avoir à puiser dans le capital lors de replis boursiers. Si nous comblons tous les besoins en retraits d’un client grâce à la répartition des revenus, il n’a pas à se départir du moindre titre ni à liquider des actifs. Plus ces placements génèrent des revenus importants, moins le portefeuille et son titulaire se retrouvent sous pression.
Minimisation des impôts
Pour dégager des revenus stables, il faut porter une attention particulière à la maximisation de ceux-ci après impôts. Plus notre stratégie est fiscalement efficace, plus il reste d’argent après chaque retrait et moins on a besoin de piger dans notre pécule pour couvrir nos dépenses, ce qui contribue à préserver le capital et à pérenniser le revenu à long terme.
Quand il s’agit de minimiser les impôts, il n’existe pas de solution universelle. Chaque situation doit être évaluée au cas par cas. Quoi qu’il en soit, il est essentiel de comprendre l’incidence de vos décisions d’aujourd’hui à l’égard des sources de revenus sur la situation de votre client, que ce soit dans 7 ou dans 17 ans.
Minimisation des pertes
L’importance accordée aux revenus peut aider à atténuer les répercussions des réductions de capital, qui tendent à rapidement éroder la valeur d’un portefeuille. Pour les retraités confrontés à un marché baissier, l’idée de devoir effectuer des retraits pendant une correction boursière, qui revient à vendre à perte des placements pour couvrir les frais de subsistance, constitue un véritable cauchemar. Or, comme vous le constaterez dans cet exemple vécu d’un retraité puisant dans son REER durant 10 ans, le fait d’accorder la priorité à la maximisation des flux de trésorerie peut contribuer à préserver le capital, même dans les marchés baissiers.
Ce graphique est fourni à titre d’exemple seulement. Les distributions ne sont pas garanties et peuvent être modifiées en tout temps à la discrétion du gestionnaire.
Source : Diamond Retirement Planning Ltd.
Maintien du pouvoir d’achat
Afin de protéger le pouvoir d’achat, surtout durant les périodes d’inflation, il est essentiel qu’une part du portefeuille soit allouée aux catégories d’actif et aux stratégies ayant pour but de générer au fil du temps des rendements ajustés en fonction de l’inflation positifs. Une stratégie qui a fait ses preuves en matière de protection du pouvoir d’achat, c’est la croissance. Une participation d’une dizaine de points de pourcentage à des titres de croissance peut générer des rendements suffisants pour contrer les effets à long terme de la hausse des prix.
Grâce à la stratégie de revenu de retraite des quatre « M », il est possible de déjouer la volatilité et les marchés défavorables avant même qu’ils ne surviennent. Lorsque les parquets se replieront, vous n’aurez plus à vous demander quoi faire : vous serez déjà prêt depuis longtemps.
Ressources
Envisagez la planification de votre retraite sous un nouvel angle.
Demandez à votre conseiller comment Fonds Dynamique peut vous aider.
Les renseignements figurant aux présentes ne doivent pas être considérés comme des conseils en placement. Avant de mettre en œuvre une stratégie en matière de placement ou de fiscalité, les investisseurs devraient consulter leur conseiller, qui leur fournira des recommandations adaptées à leurs besoins et tiendra compte de leur situation ainsi que des plus récents renseignements à sa disposition.
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