PARTICIPANTS
Mark Brisley
Directeur général et chef, Fonds Dynamique
Robert Cohen
Vice-président et gestionnaire de portefeuille
PRÉSENTATION
Mark Brisley : Vous écoutez On The Money de Fonds Dynamique, une série de balados qui vous donne accès à certains des portefeuillistes les plus aguerris en gestion active ainsi qu’à des maîtres à penser dans le domaine de la finance. Lors de nos rencontres, nous posons à nos invités des questions pertinentes afin de connaître leur point de vue sur la conjoncture et de recueillir leurs conseils sur la manière de composer avec les circonstances actuelles.
Bienvenue à ce nouvel épisode de la série On the Money. Mon nom est Mark Brisley. Je serai votre animateur. L’or et l’inflation sont deux sujets tout à fait interreliés. Dans le contexte de pressions inflationnistes apparemment durables que nous connaissons, il n’y a rien de surprenant à ce que les placements aurifères retiennent l’attention.
Aujourd’hui, c’est justement de l’or dont nous discuterons. Depuis belle lurette, cette catégorie d’actif est perçue comme un bastion contre l’inflation, sujet qui est sur toutes les lèvres en ce moment. Il est impossible de l’ignorer, car on en entend parler autant dans les nouvelles économiques que dans les commentaires provenant directement des chefs ou des équipes de direction. De plus, les investisseurs en subissent les effets très concrets dans leur vie quotidienne.
Qu’il s’agisse de l’augmentation des prix à la pompe ou à l’épicerie, ou encore des pénuries de l’offre, tous ces exemples tangibles ont des répercussions directes sur les portefeuilles des investisseurs en ce moment. Comme l’inflation s’avère le sujet de l’heure et que l’or permet depuis toujours de s’en protéger, j’ai le plaisir d’accueillir Robert Cohen, gestionnaire de portefeuille spécialisé dans l’or et les métaux précieux à Dynamique.
Robert, pour commencer, le comportement de l’or cette année a eu de quoi rendre perplexe. Le cours du métal jaune a fait des allers-retours au sein d’une fourchette sans jamais en sortir, dans une direction ou dans l’autre. Cela reflète les tensions antagonistes sur le marché. D’un côté, l’or réagit au resserrement monétaire plus rapide, et de l’autre, la perspective d’une flambée durable de l’inflation accroît son attrait en tant que valeur refuge. Quel est votre point de vue sur les facteurs qui influencent le cours de l’or en 2021?
Robert Cohen : Ce qui se passe selon moi, notamment, c’est qu’il y a un délai entre la parution des données économiques et la réaction des gens. À mesure qu’ils digèrent les nouvelles, on observe une réaction du cours de l’or. Récemment, nous l’avons vu dégringoler en réponse au mouvement du rendement des obligations du Trésor américain indexées sur l’inflation à 10 ans. Or, si on analyse la situation dans son ensemble, et tu as déjà mentionné plusieurs points importants dans ton introduction, donc je ne les répéterai pas, on constate que la masse monétaire des États-Unis a beaucoup crû, surtout depuis le début de la pandémie.
En effet, elle a enflé de 33 % depuis que nous sommes en pandémie. À l’heure où nous nous parlons, le variant Omicron gagne du terrain, ce qui suscite beaucoup de questions. En effet, cela pourrait ralentir les plans de la Réserve fédérale américaine (Fed) à l’égard du resserrement des politiques. Voilà une autre chose qu’il faut garder à l’esprit. Dans une perspective globale à moyen ou long terme, les États-Unis prévoient un déficit budgétaire s’élevant à 13 % de leur produit intérieur brut (PIB). Le niveau d’endettement du pays se rapproche donc du plafond de la dette, qui se situe à 28,5 billions $, ou 120 % du PIB. D’ici cinq ans, il pourrait même dépasser les 40 billions $, selon certains avis. Il ne faut pas se surprendre, vu tout l’argent qui est imprimé, qu’une dévaluation survienne. C’est réellement la politique monétaire qui a alimenté l’inflation, ainsi que la dévaluation des monnaies, qu’on parle du dollar américain ou canadien.
Mark Brisley : Oui, et parlant de la politique monétaire, nous avons vu la Fed changer de discours à plusieurs égards récemment. Premièrement, elle semble avoir délaissé le mot « transitoire » quand elle parle de l’inflation, et bien sûr, il n’est plus question de réduire plus rapidement les programmes de relâchement quantitatif, comme le président Powell l’évoquait encore récemment. Que signifie pour l’or cette reconnaissance du caractère plus durable de l’inflation? Le métal jaune a-t-il réagi de la manière dont vous vous y attendiez depuis ces revirements?
Robert Cohen : Martin Murenbeeld, de Capitalight Research, une entreprise de Victoria, en Colombie-Britannique, est l’un de mes économistes de prédilection. Ses modèles tiennent compte d’une foule de données économiques pour évaluer la juste valeur du cours de l’or. Il estime que le métal jaune est en ce moment sous-évalué d’environ 50 $ l’once, un montant peu élevé, mais significatif. Par ailleurs, il prédit que sur un an, le cours devrait remonter de 100 $ ou plus, si je me souviens bien. Je pense que nous devons garder cela en tête.
L’un des facteurs qui influencent très fortement l’or et les actions aurifères est la perception des investisseurs. En ce moment, les investisseurs sont comme les passagers d’un bateau. Quand ils perçoivent une menace, ils s’empilent tous à bâbord, ce qui fait tanguer le navire, puis quand la menace se déplace, ils accourent à tribord et l’embarcation tangue à nouveau. C’est cet effet d’entraînement que nous voyons à l’œuvre sur le marché, selon moi. Presque chaque semaine, le troupeau saute d’un côté à l’autre. Toutefois, j’ai pleinement confiance qu’à long terme, l’or se portera très bien.
Mark Brisley : À l’aube de la nouvelle année, quelles sont les tendances que vous garderez à l’œil? Dites-nous en plus sur celles qui vous paraissent les plus indicatrices du rendement de l’or.
Robert Cohen : Les taux d’intérêt réels constituent l’un des indicateurs les plus fiables. Force est d’admettre que l’inflation est très élevée. Je ne sais pas trop à quoi pensaient ceux qui ont adopté l’expression « transitoire ». De toute évidence, il ne faut plus l’employer. Nous pouvons nous attendre à de l’inflation, et même à beaucoup d’inflation. Même dans le cas de l’inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation, les chiffres me paraissent biaisés, car ils se fondent sur des moyennes qui incluent des données passées ainsi que des projections. Cela abaisse la moyenne à un niveau de 2 ou 3 %, mais en réalité, l’inflation aux États-Unis se chiffre à 5,4 %.
J’ai vécu en Amérique latine dans les années 1990. Le scénario que nous connaissons actuellement me rappelle ce qui se passait au Chili en raison de la politique monétaire, à l’époque où je travaillais dans les mines là-bas. Nous voyons poindre les retombées de ce genre de politique monétaire téméraire, qui pourrait entraîner la perte d’une croissance de la masse monétaire dans les deux, voire les trois chiffres, ou encore le financement de dettes par le gouvernement, etc. Je n’estime pas que conserver de l’argent en liquidités ait beaucoup d’utilité. Il vaut mieux investir cet argent, que ce soit en bourse, dans l’immobilier, dans l’or ou dans quoi que ce soit. L’important est de miser sur la diversification. Voilà le grand thème que je suis.
Mark Brisley : Robert, l’énormité de la masse monétaire a beaucoup fait parler et vous venez de nous dresser un portrait de ce qui s’est produit sur ce plan depuis le début de la pandémie. Vous soulignez que les répercussions sur les devises mondiales pourraient ne pas s’avérer très apparentes, vu l’ampleur de la situation. Pouvez-vous approfondir un peu ce point?
Robert Cohen : Selon moi, l’une des explications reste qu’au début de la pandémie, beaucoup de gens ont demandé à ce que les gouvernements interviennent. Ceux-ci ont répondu en versant des prestations sociales, si on veut appeler ça ainsi, ce qui a fait croître la masse monétaire, puis entraîné de l’inflation. Les actifs réels ont ensuite pris de la valeur, l’immobilier figurant parmi les exemples les plus frappants.
Quand les prix de l’immobilier montent, les gens exhortent à nouveau le gouvernement à intervenir. Cela cause un cercle vicieux de prestations sociales, si je peux m’exprimer ainsi, et une dilution de la masse monétaire, qui alimente encore l’inflation. Je nous vois emprunter le chemin que de nombreux pays émergents ont suivi par le passé. Je ne peux plus le nier.
Mark Brisley : Robert, on parle beaucoup de la chaîne d’approvisionnement, et plusieurs pensent que les chocs du côté de l’offre ainsi que les goulots d’étranglement à l’expédition causent de l’inflation. Dans tous les cas, ces facteurs jouent certainement un grand rôle, et ils devraient se dissiper en 2022, ou du moins s’améliorer. Est-ce que cela pourrait changer vos prévisions concernant l’or et, de manière plus générale, les pressions inflationnistes sur le marché?
Robert Cohen : Oui, je crois que les perturbations de la chaîne d’approvisionnement contribuent à la poussée de l’inflation. J’estime que la politique monétaire et budgétaire joue un rôle plus important que les restrictions liées à la pandémie, bien que tous ces facteurs se superposent. Nous pouvons nous attendre à un portrait assez sombre sur les plans monétaire et budgétaire. Rappelez-vous, au début de la pandémie, tout le monde croyait que nous serions sortis du bois en 12 à 18 mois. Nous nous rapprochons maintenant plutôt de la marque des deux ans et nous ne voyons toujours pas la lumière au bout du tunnel. Cette crise a été sous-estimée.
En ce qui concerne les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, je pense que nous sous-estimons aussi le temps que cela peut prendre pour les résoudre. Ce ne sera pas aussi simple qu’on peut le penser.
Mark Brisley : Le prix de l’or lui-même ne représente qu’une partie du portrait pour vous en tant qu’investisseur et pour vos fonds, qui misent sur le métal jaune. En fait, la valeur ajoutée à long terme provient réellement de la sélection de sociétés d’exploration ou de production d’or et de métaux précieux. En quoi votre processus diffère-t-il de celui des autres fonds aurifères existants?
Robert Cohen : C’est une très bonne question. Notre philosophie de placement ne repose pas sur le simple fait que nous comptons sur la hausse du prix de l’or. Nous recherchons des placements que beaucoup de gens ne pourraient pas dénicher en restant assis dans leur fauteuil à la maison, façon de parler. Je pense que les épargnants peuvent acheter des lingots d’or, des titres de grandes sociétés aurifères ou de sociétés de redevances s’ils veulent s’exposer au prix de l’or. Notre équipe se compose de spécialistes, dont la géologue Nawojka Wachowiak et moi-même, qui suis ingénieur minier, donc je connais l’extraction et le traitement des minéraux. Ensemble, nous couvrons les trois principaux aspects techniques du domaine. De plus, nos connaissances en finance nous permettent de couvrir un autre aspect. Nous scrutons les quatre coins de la planète pour repérer les placements les plus intéressants. Nous investissons dans des sociétés de toutes tailles, soit dans quelques grosses, moyennes et petites capitalisations, offrant ainsi aux investisseurs un portefeuille très diversifié.
Nous nous différencions de nos concurrents notamment par notre participation importante au marché australien. Toronto est la capitale mondiale du financement des entreprises minières, mais l’Australie ne donne certainement pas sa place en tant que marché secondaire d’importance malgré son marché plus restreint que celui de la métropole canadienne. Je trouve que beaucoup de concurrents ont tendance à ignorer les occasions qui se présentent dans ce pays. Lorsque nous scrutons les marchés en quête de perles, nous avons donc plus de choix qu’eux. Nous détenons un portefeuille très intéressant qui comporte une participation d’environ 40 % au marché australien. C’est ce qui nous distingue des autres.
Par ailleurs, dans le cadre de notre processus de diligence raisonnable, nous investissons dans des sociétés d’exploration avancée que nous pensons sur le point de faire des découvertes de classe mondiale. Je nous compare parfois aux célèbres chiens truffiers, qui partent à la recherche de truffes et se mettent à creuser à un endroit précis. C’est un peu ce que nous faisons; nous nous collons à une société que nous pensons à l’aube de faire une découverte de classe mondiale et nous y investissons fortement et sans remords. En partant du principe « s’engager à fond ou rester à la maison », nous prenons des positions importantes dans certaines de ces entreprises. Comme dans Jack et le haricot magique, nous plantons le précieux grain et attendons qu’il porte des fruits.
Mark Brisley : Il est intéressant de constater dans vos commentaires que vous élaborez votre portefeuille en tenant compte des volets exploration et production. Comment combinez-vous les deux? Utilisez-vous une certaine fourchette pour vous guider dans la répartition ou y allez-vous en fonction des occasions de placement, selon un point de vue ascendant?
Robert Cohen : En général, nous nous optons pour une optique ascendante. Nous sommes néanmoins plus sélectifs du côté des sociétés de production dans lesquelles nous investissons. Cela dit, nous n’en avons pas beaucoup, car seulement une poignée d’entre elles ont vraiment notre estime. Puis, il y a les sociétés de mise en valeur, qui sont un peu comme le supermarché des grandes entreprises. Quand elles veulent augmenter leur production, elles cherchent des gisements de calibre mondial, un autre aspect à garder à l’esprit. Or, certaines d’entre elles peuvent devenir des sociétés de production et connaître un réel succès. Nous ne sommes donc pas surpris quand elles attirent les offres d’achat, ce qui constitue un argument de plus. Voilà pourquoi il est important de se mettre non seulement dans la peau d’un investisseur, mais aussi dans celle d’un dirigeant d’une grande entreprise qui se demanderait quelle société il voudrait acquérir prochainement.
Mark Brisley : Les épargnants sont tentés d’essayer de négocier activement les titres de certains secteurs du marché. Si je me fie à notre conversation, je dirais, comme probablement beaucoup de nos auditeurs, que le secteur aurifère en fait sans doute partie. En tant que gestionnaire de portefeuille aurifère d’expérience, quels conseils donneriez-vous aux épargnants qui envisagent d’investir dans le métal jaune?
Robert Cohen : Je ne crois pas au jeu des devinettes. En fait, je pense que personne n’est vraiment capable de se synchroniser avec les marchés. Je vois toujours des investisseurs, tant des professionnels que des investisseurs du dimanche, qui tentent d’anticiper les mouvements des marchés. Je pense qu’il est davantage question de chance que de talent. Il se peut qu’une personne chanceuse arrive à tirer son épingle du jeu. Je suis d’avis qu’il faut prendre du recul et regarder la situation dans son ensemble. Vous entendez sans cesse dire qu’il faut diversifier votre portefeuille et qu’en tout temps, l’or est comme une assurance contre les incendies ou une assurance automobile pour un portefeuille. Cela dit, l’or est la catégorie d’actifs la moins corrélée aux autres. Notez que je choisis bien mes mots en disant moins corrélée, plutôt que corrélée négativement, car il y a une différence. En fait, il se peut que les marchés en général et l’or se comportent bien ou mal en même temps, comme il se peut qu’ils évoluent différemment. Il s’agit donc des catégories d’actif les moins corrélées. Ainsi, en matière d’élaboration et de diversification de portefeuille, l’or constitue une excellente catégorie d’actif.
La situation peut changer très rapidement. Si vous n’avez pas d’or dans votre portefeuille et que vous attendez que le prix du métal jaune bouge ou augmente, ou que le secteur redevienne vigoureux pour acheter, vous risquez en général d’agir trop tard. Le mieux, c’est d’en avoir toujours un peu. Si le marché monte, vous aurez alors la possibilité de rééquilibrer votre portefeuille. À l’inverse, vous pourrez accroître votre participation lors de baisses du marché pour rééquilibrer votre portefeuille, ce que vous ne pourrez faire si vous avez évité ce secteur.
Mark Brisley : Très bons points. J’écoutais un commentaire l’autre jour, je ne me souviens plus lequel, mais il parlait de l’importance d’avoir toujours une vision à long terme à tous les égards en matière de répartition d’actif, en particulier avec l’or, car on ne peut pas se doter d’une protection contre l’inflation sur une base hebdomadaire. Ce point de vue à long terme demeure toujours très important, n’est-ce pas?
Robert Cohen : Oui, c’est exact. Je le répète, je suis très à l’aise avec le fait de détenir de l’or. Ce que j’aime aussi à propos de ce métal précieux, c’est que son prix lui-même d’une certaine manière, n’est pas lié au marché des capitaux. L’or ne fait pas partie du marché boursier. Nous voyons des anomalies en ce moment sur les parquets, des entreprises comme celles que les utilisateurs de Reddit suivent affichant des évaluations ridicules. Je pense qu’investir dans un secteur un peu boudé, mais pas complètement, ne peut pas faire de mal. Pourquoi se priver de cette diversification?
Mark Brisley : Ce sont d’excellents points! Dans un contexte où les pressions inflationnistes atteignent des sommets inégalés en plusieurs décennies et où les investisseurs commencent à reconsidérer l’or comme une protection contre l’inflation, cette discussion avec vous aujourd’hui a été très utile. Je vous remercie d’avoir pris le temps de parler avec nous.
Robert Cohen : Merci de m’avoir invité, Mark.
Mark Brisley : Au nom de Fonds Dynamique, je tiens à remercier tous nos auditeurs d’avoir écouté ce nouvel épisode de la série On the Money. Soyez prudents et prenez bien soin de vous.
Annonce : Vous venez d’écouter un autre balado On the Money with Dynamic Funds. Pour en savoir davantage sur Dynamique et sa gamme complète de fonds, communiquez avec votre conseiller financier ou visitez notre site Web à dynamique.ca.
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